On aurait pu penser que la réédition théâtrale du chef d’œuvre cinématographique éponyme de l’américain Sydney Lumet, mis en scène en 1957 par Reginald Rose aurait eu l’allure d’une pâle copie, quelque peu affadie par le temps. Mais dès la première scène, dans une salle dépouillée, grise aux fenêtres fermées, la présence de ces douze hommes debout, pour la plupart ...
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